jeudi 27 août 2015

DON'T LIKE (OU LA FIN DU MONOPOLE "LIKE")

Il y a ceux qui « likent » par nécessité, ceux qui le font car il n’y a pas d’autre alternative ou parce qu’ils ont les doigts trop engourdis pour écrire un commentaire, et ceux qui ne « likent » pas (surement pour différentes raisons que nous n’énumèreront pas). Et si cette typologie dichotomique de social networkers était bousculée par l’apparition d’un bouton « Don’t Like » ?
Pouvoir choisir entre l’option « j’aime » et « j’aime pas » serait-il un minimum exigible nécessaire à l’expression du social influencer ? D’autant plus face à une marque en recherche d’une relation authentique avec l’influenceur ?
Si le bouton « j’aime pas » apparaissait sur facebook et instagram, appellerait-il à un véritable référendum tentant les plus hargneux, et ceux hostiles à laisser un commentaire, à donner leur avis ? Les paysages des médias sociaux en seraient-ils modifiés ?
Scenario 1 : Cela mettrait fin au règne du « like » et les influenceurs n’en jouiraient plus du monopole. Ils se verraient peut être blessés dans leur egos et orienteraient leurs posts, leurs tags ainsi que leurs commentaires en fonction des scores atteints.
Scenario 2 : Aujourd’hui un social media manager achète des « likes », demain il fera de même avec des « don’t likes ». Le paysage socio-médiatique en sera tout autant altéré et au final, les scores totalisés par les « j’aime » et « j’aime pas » ne donneront pas plus d’informations utiles aux marques en quête de relations authentiques avec les influenceurs.
Mais quel outil permettrait d’apporter un plus aux réseaux sociaux permettant d’identifier les influenceurs et de pronostiquer sur les prochaines tendances en vogue? Telle est la question …
Julia.

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