jeudi 24 septembre 2015

YEEELS, AU PLURIEL

robyn nat yeeels2 

Enfin, un restaurant qui ne ferme pas à minuit ! Le dîner, du chef Thomas Rossi, qui se transforme en soirée dansante, j'en rêvais ! Le Yeeels l'a fait ! Avis aux noctambules notoires ...

Le Yeeels est un de ces lieux magiques dégageant une ambiance hors du temps dès la porte d'entrée. On se retrouve entre le NYC des années 20 et les salons parisiens dans une décoration hallucinante aux tons dorés, liquoreux et scintillants qui font d'emblée tourner la tête, avant même d'avoir goûté aux créations du mixologue Benjamin Chiche.

Ce restaurant hybride aux multiples facettes abrite deux étages aux ambiances raffinées, décorés par Rodolphe Parente et Benjamin Liatoub. Le rez-de-chaussée conçu dans un esprit "classique revisité" est relié à l'étage inférieur par un escalier en marbre noir et métaux dorés à la fois imposant et futuriste nous plongeant dans la face cachée du Yeeels. Chaque pièce est mise en scène et porte un nom : la "Black Room", la "Sparkling Room" ou encore le "Salon Gatsby". Autant d'invitations à se perdre dans le temps, la luxure et la fête.

L'empreinte digitale est dans la signature de l'établissement, un accueil impeccable par un clan de jeunes gens chics, tous impliqués dans le projet autour du directeur de l'établissement Benjamin Artis.
Petit plus, on a entendu dire que dès la mi-septembre les vendredis et samedis les soirées s'allongeaient jusqu'à 3h du matin avec DJs aux platines.

Let's meet at the Yeeels !


Julia

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